Le renouvellement du site des Godardes 2 s’inscrit dans la continuité du projet d’Eco Quartier de l’Arsenal, avec la volonté de constituer un morceau de ville intégré, écologique et durable autour du futur Grand Paris Express.

Notre projet a pour objectif de s’intégrer dans ce contexte urbain tout en accompagnant la requalification du quartier et en assurant la transition entre la morphologie de bâtis avoisinants. Il se saisit de la caractéristique principale du site : son implantation dans la pente.

Le Lot L1/L3/L5, comporte des bâtiments destinés à être réhabilités (L1 et L5) et un espace libre permettant la construction de logements neufs (L3).

Le bâti est orienté de manière à ce que l’ensemble des logements puisse bénéficier de vues longues sur le paysage. Les cœurs d’ilots s’inscrivent dans la continuité végétale du mail et des espaces publics. Cette implantation du projet nous permet de minimiser son impact avec son environnement direct tout en laissant place à de larges percées visuelles vers le cœur d’ilot et les espaces verts.

Depuis le mail piéton des Godardes 2, un porche traversant donne à voir le cœur d’ilot et permet de desservir l’ensemble des cages.

Le plan masse et la volumétrie du projet permet :

* De ménager les vis à vis en créant une architecture organique qui permet d’articuler les vues du projet,
* D’assurer la transition entre les constructions neuves et le bâti existant, et proposer un épannelage permettant de réconcilier les typologies de bâtis environnantes, tout en tirant parti de la déclivité du lieu,
* De proposer des espaces libres et paysagers qui participent à l’insertion du projet dans la topographie du site et à l’amélioration du cadre de vie.


62 logements collectifs sociaux

Rueil-Malmaison

Le quartier du Parc Princesse, situé au sud de la ville parc du Vésinet dans les Yvelines, constitue un des derniers potentiels d’aménagement urbain pour la ville. Avec ses 18,3 hectares autour de l’ancien asile impérial devenu hôpital, ses 994 arbres dont 105 remarquables, ce site exceptionnel par sa situation géographique, sa biodiversité, son histoire et son identité, constitue une formidable opportunité pour la réalisation d’un éco-quartier exemplaire.

En co-conception avec l’agence d’architecture CoBe, le projet développe quatre bâtiments sur une parcelle de 7 670m², correspondant au Lot A.

La typologie d’immeubles pavillons en R+3+Combles proposant des toits habités, s’inscrit dans un rapport d’échelle avec la masse végétale. L’architecture qui y est développée reprend les codes de la demeure vésigondine.

A tous les niveaux, un rapport subtil s’instaure entre le mode d’habiter et la nature environnante.

Au rez-de-chaussée, grandes ouvertures, portes fenêtres, prolongements extérieurs, jardins, animent les façades.

Dans les étages courant, les terrasses ou loggias constituent une véritable pièce à vivre, en voisinage des 1ères frondaisons.

Au dernier niveau des constructions, des toitures à pans sont privilégiées, de façon à adoucir l’impact volumétrique des bâtiments et en offrant des espaces originaux au sein du logement et des vues sur une nature lointaine à contempler.

En toiture, les terrasses offrent de paisibles espaces à hauteur de canopée.


61 logements collectifs

Le Vésinet 

Un bâtiment-proue à l’identité forte mettant en synergie une diversité programmatique. Un des enjeux majeur de cette opération est sa diversité programmatique. Le projet s’organise en 1 seul bâtiment en T, s’élevant à R+6.

Il accueille les différents programmes tout en créant des accès spécifiques à chaque entité en ménageant les porosités. La Résidence étudiante prend place sur R+6 niveaux le long du boulevard de l’Europe, son accès se faisant par le boulevard au niveau RDC Haut. Le Centre d’Hébergement d’Urgence s’insère sur R+3 niveaux, son accès se faisant par une entrée spécifique également sur le boulevard de l’Europe. Ses logements se développent le long de la rue Henri Barbusse et de la voie ferrée.

Le siège de la Fédération Française de Squash se positionne au niveau RDC Haut le long du Boulevard de l’Europe. Son accès se fait à l’angle des deux voies via un hall commun avec l’équipement sportif. L’équipement sportif accueillant 6 terrains de Squash, se situera au RDC Bas et au 1er sous-sol, son accès principal étant mutualisé avec celui de la Fédération Française de Squash, à l’angle des 2 voies.

L’objectif est donc clair : proposer un bâtiment-proue élégant, à l’identité forte, offrant des angles emblématiques et dynamiques. Le travail du volume s’axe sur la stratification et l’ondulation : afin de casser une lecture trop monolithique. Les volumes s’érigent et se lisent strates par strates, sous-faces et sur-faces s’expriment au-dessus d’un socle qui se comporte comme un belvédère sur le sud.


Résidence étudiante - Centre d’Hébergement d’Urgence

Siège social de la Fédération Française de squash - Centre sportif

Joinville-le-Pont

Entièrement remanié au milieu des années 80, l’îlot dévoile une identité forte, constituée d’équipements liés à la petite enfance et l’environnement maternel.

Cette institution initialement refermée sur elle-même s’ouvre désormais sur la ville en faisant dialoguer équipements publics et logements autour d’un espace vert protégé, calme et de grande qualité.

Le travail de restructuration sur l’enveloppe du bâtiment rue Boussingault est sobre et respectueux de l’architecture en renforçant la notion de « maison des enfants » grâce à un traitement apaisant des espaces d’accueil et une
osmose avec le jardin. Les extensions au 2e étage créent des unités de vie dans l’emprise des terrasses.

En alternance, des patios protégés offrent un apport maximal de lumière, tout en permettant l’appropriation d’espaces plus intimistes pour les enfants scolarisés.


Restructuration du centre Michelet : foyer et pouponnière, intégration d'un service d'accueil en famille

Paris 13

Construit dans les années 60, l’ensemble Glacière-Daviel de l’îlot Bièvre est un parfait exemple de la production de logement social en milieu urbain à l’échelle d’un quartier parisien. Le complexe d’habitation est livré à un considérable projet de surélévation porté par Paris Habitat. La restructuration du site redonne force et identité à cette unité, un nouveau souffle sans artifices ni ostentation, tout en respectant l’esprit initial.

Un travail sur l’enveloppe donne un nouvel usage des loggias où le filtre des panneaux coulissants module l’ensoleillement et privilégie des échappées visuelles sur les jardins. Il s’accompagne de la création de 17 ascenseurs. La surélévation des bâtiments le long du mail central et sur le boulevard Blanqui offre une consistance à ces corps de bâtiment. Le projet requalifie les espaces extérieurs, renforce la lecture des deux axes majeurs convergents et relie la place haute à la place basse par une rampe paysagée sous laquelle se loge un lieu associatif éclairé par des puits de lumière.


756 logements réhabilités _ 64 logements surélevés et 5 commerces créés

Situé à l’entrée du secteur du petit bois de la ZAC du Haut du Mont-Mesly, le projet offre un front bâti qui fait signal.

Il s’agit de s’insérer dans la composition urbaine nouvelle tout en assurant un lien cohérent avec le tissu existant

Le site situé en entrée Ouest du nouveau secteur s’inscrit dans la séquence urbaine articulée autour de la place de la Fontaine Cardinaud, également à proximité de la halle du marché.

Face au mail paysager Rue Henri Cardinaud, le projet propose une architecture résidentielle, contemporaine, et sobre, avec une dominante blanche permettant d’assurer la transition avec les constructions proches. Les attiques séquencés et modelés, dessine la skyline urbaine.

Le socle est recouvert d’une brique de teinte chaude. Elle se poursuit sur les corps du bâtiment de manière à sculpter et séquencer le volume. Elle met en valeur la perspective de la Rue Henri Cardinaud en donnant une identité au projet.

L’angle Nord-Est a été pensé comme une articulation face à la fontaine, un épannelage crée une transition de hauteur douce. Le volume d’attique est mis en valeur par le jeu de toiture et par sa matérialité en zinc. L’épannelage des 2 derniers niveaux permet de créer des terrasses privatives généreuses et végétalisées qui participent à la végétalisation du site.

Sur la rue Porte-Diner, le commerce anime le rez-de-chaussée. Les halls , situés aux angles soulignent la faille.


71 logements  collectifs  et commerce  à rez-de-chaussée

Créteil

Le Lot Seqens fait partie d’une opération pilotée par 2 Maitres d’Ouvrage (EMERIGE et SEQENS) située sur la première partie du secteur de plan masse des villes de Colombes et Gennevilliers et qui développe au total 612 logements répartis dans 8 bâtiments.

Le Lot SEQENS consiste en la réalisation d’un programme immobilier comportant 4 bâtiments, situé au Nord du secteur de plan masse. Il comprend 135 logements collectifs LLS et LLI,  une résidence étudiante de 152 chambres et 30 logements en accession sociale en BRS, ainsi qu’un parc de 91 places de stationnement.

La hauteur des bâtiments s’élève à R+8 et R+10. Le projet développe une architecture contemporaine de qualité, en valorisant le renouvellement urbain du secteur, tout en respectant l’insertion urbaine du projet définie par le secteur de plan masse. Un épannelage est proposé, permettant de créer le lien avec le projet de l'agence Babin+Renaud. Des porosités sont préservées dans le bâti pour ouvrir le projet sur le cœur paysager urbain. Les vues sont orientées vers les nouveaux espaces paysagers.

Les 4 bâtiments qui composent le projet sont traités différemment, toutefois le traitement d’éléments architecturaux (bandeaux, RDC, Toiture végétalisée, teintes…) permet de donner à lire un projet cohérent en lui donnant une identité forte. Un porche traversant et généreux permet une grande porosité vers les cœurs d’îlots paysagers, depuis la voie nouvelle. Les façades du projet ont été travaillées avec une trame mettant en scène une palette de matérialité diversifiée composée de teintes douces et naturelles, permettant d’affirmer la singularité de chacun des bâtiments, tout en affichant une unicité au projet.  Un socle à RDC unifie le tout et crée une continuité visuelle entre les bâtiments.

Le cadre paysager a été conçu pour l’ilot dans son ensemble, optimisant présence végétale, oxygénation de l’air et rafraichissement.


165 logements collectifs et une résidence étudiante de 152 chambres

Colombes

Cette opération se situe sur le lot CHL.1Bb de la ZAC de Chessy Centre Bourg à Chessy, commune du Val d’Europe. Elle consiste en la construction d’un ensemble immobilier dans lequel prendra place une résidence intergénérationnelle de 50 logements dédiée aux personnes âgées et aux familles, d’une salle polyvalente et d’un local associatif. 

Le projet s’organise en 2 bâtiments de logements collectifs sur un niveau de parking en sous-sol 

de 50 places de stationnement. 

Il s’articule autour d’une venelle piétonne qui traverse le projet depuis son accès principal au nord sur l’Allée des Artisans à proximité du futur parvis jusqu’à l’Allée des Maraîchers à l’ouest. 

Elle dessert les 2 bâtiments au nord de la parcelle. 

Afin de créer de vrais échanges entre les familles et les personnes âgées, nous avons choisi de mélanger les typologies dans chaque bâtiment. L’implantation du projet permet de structurer le site et s’insère dans une écriture de transition entre tissu pavillonnaire et logements collectifs.


Construction  d’une résidence  intergénérationnelle de 50 logements

Chessy

Travailler la transversalité en s’appuyant sur la topographie du terrain. Le terrain de l’opération est situé dans le secteur des Fontenelles, au sud-est de Nanterre. Ce quartier est en cours de renouvellement urbain et social. La parcelle offre un dénivelé important correspondant à un niveau dans son axe nord-sud. Le projet s’assoit sur un socle accueillant des bureaux et s’organise en deux bâtiments de logements collectifs autour d’un jardin central.

La particularité de la parcelle nous a orienté à proposer une réponse architecturale à deux visages: sur l’avenue Georges Clémenceau celle d’une frontalité urbaine, sur la rue de Craïova, celle d’une échelle plus domestique, avec ses épannelages vers le cœur d’ilot. La façade sud du projet donnant sur l’avenue Georges Clémenceau est dessinée comme une façade urbaine animée dans son épaisseur. La façade est protégée par une double peau, composée de panneaux en maille métallique perforée qui viennent apporter du reflet.

En cœur d’ilot et côté rue de Craïova, le projet propose un épannelage permettant d’installer de larges terrasses privatives et de retrouver un immeuble plus domestique. Ces terrasses sont agrémentées de bacs permettant de végétaliser et de préserver l’intimité de ces espaces de vie extérieurs. Afin de marquer les différentes strates du projet, les horizontales sont soulignées par une ligne claire dans l’enduit à la chaux, en intégrant la ligne aléatoire des balcons. Le parement bois vient affirmer l’épannelage du volume.


 143 logements collectifs et bureaux

Nanterre

Le projet est situé dans la ZAC de l’éco-quartier des Frais Lieux sur la commune de Louvres. Le lot I3 nous concernant est placé en bordure Est de la première tranche de travaux du quartier. Le projet accueille 87 logements sociaux répartis en 58 logements collectifs, 20 logements intermédiaires et 9 maisons individuelles.

Les façades des bâtiments sont sobres afin de s’intégrer parfaitement à l’environnement, dans la volonté de créer une architecture simple, rationnelle et élégante, qui répond aux exigences du cahier des charges de la ZAC. Nous avons souhaité créer une unité dans le choix des matériaux des différentes typologies de bâtiments. On retrouve le bardage bois de façon ponctuelle, l’enduit blanc, la brique et le zinc en toiture et en bardage sur les bâtiments de logements collectifs, sur les plots d’intermédiaires et sur les maisons individuelles. Le bois est utilisé pour marquer certains volumes et structurer les façades. Il est également utilisé pour certains volets donnant ainsi du relief aux façades. Le zinc est utilisé pour la couverture des toitures en pente.

La qualité des vues de chaque logement a été soignée, une attention particulière a été apportée, dans la mesure du possible, pour que le maximum d’appartements bénéficie de 2 orientations. La majorité des logements possèdent un espace extérieur (balcon, loggia, terrasse).


87 logements sociaux et 9 maisons

 en Val-d’Oise 2022

Louvres - Lauréat dans la catégorie Logements Collectifs du Palmarès de la Construction Durable en Val-d’Oise 2022

Face au lac, le projet crée un signal architectural et une identité remarquable en entrée de quartier. Le terrain est implanté sur l’un des axes de composition du quartier de Villaroy, sous la forme d’un cheminement partagé reliant habitat, équipements publics, commerces, services et transports en commun.

La parcelle est bordée au nord par le lac de Villaroy et traversée par une venelle piétonne. Le projet donne une identité forte au lac de Villaroy à travers son écriture architecturale et ses aménagements paysagers. Il permet de valoriser et de mettre en scène l’un des principaux axes de composition du quartier.

Deux plots, en retrait des limites, se posent sur le terrain et offrent des vues principales sur les quatre façades. Les volumes permettent de garantir une cohérence d’ensemble, et les teintes et matériaux permettent l’appropriation de chaque plot. Les deux bâtiments ont une colorimétrie différente afin de leur procurer une identité distincte.

Aux quatre angles des bâtiments, les volumes sont creusés par de larges loggias permettant un réel usage et agrémentées d’espaces végétalisés. Aux étages plus élevés, des retraits successifs permettent d’offrir aux logements de larges terrasses. Côté lac, la présence du végétal est renforcée.

Les angles sont support d’une végétation grimpante. La cinquième façade est utilisée en partie par deux terrasses privatives sur le toit, accessibles par des escaliers privatifs extérieurs.


43 logements collectifs

Guyancourt

Le projet consiste à réaliser au cœur d’une résidence intergénérationnelle 80 logements, un local d’animation sociale et une maison d’assistantes maternelles à Saint-Germain les Corbeil.

La résidence intergénérationnelle est un ensemble de logements accueillant des personnes d’âges et de situations différentes. Les surfaces de logement sont pensées en cohérence avec les besoins des jeunes et des personnes âgées. L’habitat intergénérationnel permet de répondre aux attentes des personnes âgées qui souhaitent maintenir l’inclusion sociale et le maintien à domicile dans un cadre sécurisant et bienveillant. Un local commun utilisables par tous les résidents est mis à disposition et permet aux habitants de se rencontrer.

L’objectif est de créer une dynamique de convivialité, de solidarités de voisinage et d’échange d’expérience, pour laquelle les résidents sont contributeurs et bénéficiaires. Le programme s’organise en 5 bâtiments de logements collectifs à R+2+Combles. Le bâtiment 1 comporte 17 logements sociaux, un espace d’accueil et un local d’animation sociale pour la résidence ainsi que la rampe d’accès de la voie privée au parking de 65 places en sous-sol et en extérieur.


Résidence intergénérationnelle et maison d'assistantes maternelles

Saint-Germain-lès-Corbeil

Les émergences sont conçues comme des immeubles villas, qui concilient l’échelle collective et individuelle. La pierre, semi porteuse, donne une présence, matérielle évidente.

Le projet de ZAC s’inscrit dans le cadre d’une réflexion sur la rénovation du site "Jean Zay" concomitante à la démolition de la cité universitaire éponyme. Un travail en atelier a permis de mener une r.flexion commune, afin de créer de l’unité et de la diversité dans une identité partagée pour ce nouveau quartier. Nous travaillons en équipe à l’échelle de macro lot, en s’intégrant dans le principe bâti de la ZAC : la ville stratifiée.

L’articulation des échelles, des typologies et des usages structurent le projet. Il s’agit d’ancrer le projet dans une diversité d’épannelages en fonction du contexte urbain. Un socle à R+2, correspond au gabarit commun du bâti environnant. Des émergences de hauteurs variables sont posées sur ce socle commun afin de répondre à la singularité du contexte auxquelles elles font face.

Le projet repose sur un équilibre de pleins et de vides, suivant le principe d’ilot ouvert. À RDC, le socle accueille des espaces commerciaux et de service donnant sur l’espace public.

Sur la place et le long du mail de Sceaux, le socle, allant du rdc au R+2, est revêtu de pierre semi porteuse, afin de marquer la qualité du lieu et d’entrer en résonance avec le traitement de la place. Deux grandes toitures terrasses végétalisées prennent place à R+2. L’une est une terrasse d’agrément visuel, favorisant la biodiversité et renforçant la perception du végétal dans le quartier ; l’autre, accueille un espace permettant son appropriation par l’ensemble des résidents de la copropriété.

Depuis l’espace public, les accès pi.tons se signalent par un passage couvert dont la percée visuelle invite à pénétrer jusqu’au coeur d’ilot. Installés dans les émergences, chaque logement est unique. Les larges terrasses privatives sont intimes, rythm.es par un jeu d’éléments verticaux en pierre. Le vide prend le pas sur le plein au fur et à mesure des étages.


81 logements collectifs et 10 locaux à usage commercial et de service

Antony

L’opération de 92 logements située au96/100 rue Bleuzen à Vanves est réalisée par Pierre Vichnievski en1984/1985.

L’opération s’inscrit le long du tissu urbain existant. Déroulé des bâtiments autour d’une cour créée.

Dans le cadre de sa politique de rénovation de son patrimoine, Toit et Joie, filiale du Groupe Poste Habitat a décidé d'engager un programme de réhabilitation de ses résidences.

L’immeuble immobilier d’une emprise d’environ 4 007 m²comprend trois bâtiments àR+6 disposés autour d’une cour ouverte orientée Sud-Ouest et un parc de stationnement sur deux niveaux de sous-sol avec accès en partie Nord-Est.

·Le bâtiment A est situé le long de la rue (49 logements).

·Le bâtiment B (22 logements).

·Le bâtiment C (21 logements).

Les bâtiments totalisent 92 logements locatifs, 93 places de stationnement, un local collectif résidentiel, des locaux de service.

L’objectif de la présente réhabilitation est d’atteindre l’étiquette B, par le remplacement des menuiseries, et la pose d’un ITE. Une nouvelle image de la résidence est attendue.


Réhabilitation d'un ensemble immobilier de 92 logements

Vanves

La requalification architecturale du site s’inscrit dans le cadre du projet de renouvellement urbain de la Bottière. L’homogénéité de traitement des bâtiments maintient un fil conducteur entre les trois ensembles Becquerel, Soulliarderie et Basinerie.

Ainsi, le projet crée une image forte et respectueuse de la clarté de l’architecture initiale, tout en redonnant des lettres de noblesse à ce patrimoine quelque peu déconsidéré. Le bambou, le bois brûlé et le liège expansé s’inscrivent dans un environnement végétal de grande qualité et renforcent le dialogue entre les bâtiments et l’environnement.

Pour abriter les loggias autoportantes, une façade filtre réalisée en béton fibré de type Ductal allie légèreté et durabilité. Cette constante de traitement de façade est accompagnée d’éléments d’identification déclinant un vocabulaire végétal par touche ponctuelle pour souligner et identifier les allèges des chambres sur rue et compléter le filtre de la maille Ductal des loggias sur jardin.


Réhabilitation de 213 logements et démolition de 85 logements

Nantes

Chacun des lots accueille un seul bâtiment dont les compositions volumétriques se répondent.

Sur le lot C, le projet s’organise autour d’un socle à R+2 formant un nouveau front urbain tenu. Ce bâtiment en L, à l’angle des deux voies, est rythmé par deux failles volumétriques à R+2 permettant de séquencer les deux façades. La faille sur la voie nouvelle vient accueillir un large hall traversant, permettant d’apercevoir le jardin intérieur. Ainsi, les plots assemblés permettent la mise en place de multiples orientations.

Sur le lot B, le projet s’organise aussi autour d’un socle à R+1 et R+2 sur lequel se pose un double attique. Une faille verticale à R+1 fait face à celle de la faille du lot C, et lui répond avec un hall traversant.

Des particularités se développent dans les doubles attiques, où les émergences sculptées comme des maisons sur le toit assurent des singularités propres à chaque opération et permettent de conserver un rapport d’échelle domestique.

Une très grande variété de logement est développée ; traversants, simplex à double ou triple orientation, duplex sur rue ou maisons sur le toit dans le jardin.

Le projet se caractérise par la pluralité des espaces extérieurs : balcons, loggia, rooftops en attique, terrasse panoramique ou jardins à RDC du côté privatif.

Les espaces collectifs se mettent au service de la rencontre: Potager et verger partager, terrasse collective partagée en étage, jardin collectif et halls traversants.

La matérialité des façades est pérenne, la palette de teinte dans des tons neutres et chauds, harmonieuse: Les façades du socle sur rue sont traitées en parement de plaquettes de terre cuite beige, les attiques et les façades sur jardin en enduit clair, les toitures en bardage métallique de teinte claire, pour un traitement très contemporain du volume et un confort thermique assuré.


Conception-Réalisation de 58 logements  collectifs

Les Clayes-sous-Bois

Ce programme immobilier de 131 logements est situé au 6-8 rue Paul Héroult, sur la commune de Rueil-Malmaison. Le projet s’organise en 2 bâtiments de logements collectifs répartis sur 3 cages (Cage A pour le bâtiment 1, cages B et C pour le bâtiment 2) et sur 2 niveaux de sous-sol de 122 places au total.

Le terrain est inscrit dans un quartier en pleine mutation. Tout au long de la conception du projet, une attention particulière a été apportée à la volumétrie et aux hauteurs du bâti afin de s’insérer au mieux dans le paysage urbain. L’implantation des 2 bâtiments préserve un cœur d’ilot végétalisé visible depuis la rue G. de Gaulle-Anthonioz via le porche ouvert sur une double hauteur. Ce cœur d’ilot sera traité comme un jardin d’agrément visuel contemporain et léger.

Les façades des bâtiments s’intègrent parfaitement à l’environnement. Le projet propose des façades sobres composées d’un soubassement sur R+1 en pierre claire, d’un corps de bâtiment en enduit blanc agrémenté de fonds de loggias habillées d’un parement de brique gris taupe, surmonté d’attiques en épannelage habillés en alternance d’enduit blanc, d’un parement de brique gris taupe, ou d’un enduit taupe. Les matériaux ont été choisis dans une exigence de durabilité et de qualité.


131 logements collectifs

Le projet consiste à réaliser un programme immobilier de 162 logements en accession à la propriété. Les terrains d’assiette du projet sont constitués des lots A et B.

Le lot A composé de 88 logements est situé le long de l’avenue Pierre Sémard. Ils sont entourés d’espaces verts communs ainsi que de jardins privatifs et d’une aire de stationnement extérieure comprenant 18 places.

Le lot B composé de 74 logements est situé le long de la voie nouvelle Hélène Bertaux. Le projet s’organise en 2 bâtiments de logements collectifs en R+4, sur un niveau de sous-sol de 74 places de stationnement. Ils sont entourés aussi d’espaces verts communs ainsi que de jardins privatifs et d’une aire de stationnement extérieure comprenant 16 places.

L’objectif poursuivi pour l’aménagement de ce secteur consiste à mettre en œuvre un projet urbain respectueux de l’environnement.


162 logements collectifs

Villiers-le-bel

Le projet architectural consiste en la création de 48

logements collectifs et 2 locaux commerciaux sur un niveau

de parking. Principalement composé d’habitats collectifs, ce

quartier fait l’objet d’un plan de rénovation urbaine en cours.

Le projet présenté participera à l’essor du projet global.

Nous souhaitons nous inscrire dans la dynamique de la

reconquête du quartier de la Dame Blanche. Les gabarits des

constructions sont volontairement contenus afin de rompre

avec le bâti qui prédomine actuellement sur le quartier. C’est

pour cela que le projet se limite à une hauteur réglementaire

de R+3+C, pour se distinguer des constructions pouvant

atteindre R+10 à proximité de la parcelle.

De même, le traitement des volumes vise à séquencer

le bâti en plusieurs éléments distincts: le traitement du

socle des commerces à RDC et les volumes qui composent

l’attique dont la volumétrie et le traitement tranchent

nettement avec le reste de la construction.

Les différents éléments architecturaux dialoguent entre eux

dans un ensemble harmonieux.

Le coeur d’îlot végétalisé, devient un véritable poumon vert

de notre îlot. Il peut ainsi initier la reconquête de l’espace

urbain du quartier par l’appropriation des espaces par les

résidents et par une nouvelle façon d’habiter.

Les places de stationnement de l’ensemble du projet sont

intégrées dans les volumes bâtis afin de libérer les espaces

au sol.


48 logements collectifs sociaux et 800m² d'activité

Garges-lès-Gonesse

Le projet consiste à réaliser un programme immobilier de 79 logements neufs (allant de R+1 à R+4+2 attiques) dont 19 logements sociaux et 60 logements en accession libre, 1 local commercial à RDC sur rue et un parking en sous-sol qui abrite 71 places de stationnement.

Le terrain s’inscrit dans le tissu pavillonnaire alentour et profite de la proximité avec le cœur historique de la ville et des activités du centre-ville. Le projet s’organise autour des éléments structurants suivants :

\- Création d’un cœur d’ilot visible depuis la rue du Onze Novembre avec une forte végétalisation sur les limites séparatives pour se préserver du vis-à-vis et ménager les vues avec les parcelles voisines, desserte intérieure piétonne.

\- Volumétrie et retraits des constructions par rapport au domaine public et aux limites séparatives par rapport à l’environnement immédiat, avec un épannelage des hauteurs allant du type pavillonnaire au front bâti sur l’avenue.

\- Socle commun par la création d’activité sur l’axe structurant avenue de Stalingrad.


79 logements collectifs et 1 local commercial

Villejuif

Le projet consiste en la réalisation d’un ensemble immobilier de 35 logements sociaux, d’un local d’intérêt collectif et d’un niveau de parking à Bondoufle. Le terrain est situé dans Le Grand Parc (lZAC des Portes de Bondoufle) implanté à l’Ouest de la commune. Notre terrain se trouve sur le lot E4 SUD de la tranche C.

L’ilot E4 occupe une position particulière dans le quartier et notamment notre lot sud puisqu’il fait face au Parvis du Parc, espace central de la ZAC, majoritairement piéton et arboré. Le programme est constitué de deux bâtiments, une liaison vitrée à RDC permet de relier les deux locaux.

La hauteur des bâtiments est de R+2+ attiques. Une attention particulière a été apportée à la volumétrie et aux hauteurs du bâti afin de s’insérer au mieux dans le paysage urbain.

L’organisation du projet permet: de créer des immeubles à taille humaine afin de faciliter la gestion future, de limiter le nombre de logements par cage (6 logements par palier), afin de créer des paliers d’étage plus conviviaux.

Le plan masse du projet favorise l’ensoleillement des logements. La majorité des logements bénéficie d’une double orientation, de même que la qualité des vues de chaque logement a été soignée.

En effet, le positionnement du bâtiment permet de libérer des vues à la fois sur les espaces verts, mais aussi de n’avoir aucun appartement mono-orienté au nord. L’accès aux logements se fait par un hall, un pour chaque cage, donnant sur le Parvis du Parc. Chaque cage possède un local vélos, traité par des lames verticales à claire-voie en bois.


35 logements collectifs - crèche

Bondoufle

La requalification de l’esplanade de la commune de Paris et des abords de la sortie du RER, avec la création d’une place urbaine et paysagée à ciel ouvert est une opportunité pour requalifier les bâtiments alentours. En effet, cette nouvelle place urbaine et paysagée à ciel ouvert est destinée à devenir une nouvelle centralité à l’échelle du quartier Mont d’Est et à l’échelle de la commune de Noisy-le-Grand.

Le projet consiste à réhabiliter un bâtiment existant de bureaux en un bâtiment mixte conciliant surfaces d’activité et création de logements.

Le bâtiment est situé sur une dalle surplombant à R+3 la rue des Arcades à l’Est et l’Allée du Clos des Aulnes à l’Ouest tout en surmontant 4 niveaux de parkings.

Du point de vue piéton, le site est accessible, en empruntant les escaliers le long de l’Allée du Clos des Aulnes à l’Ouest pour accéder à la dalle ou depuis l’Esplanade de la Commune de Paris en empruntant les accès à la dalle, puis en franchissant la rue des Arcades en contrebas.

Un parking semi-public est implanté sur 4 niveaux sous la dalle.

Le projet propose une programmation variée :

\- de l’Activité sur ses deux premiers niveaux,

\- environ 45 logements répartis du T1 au T5 du R+2 au R+5

Un cabinet d’architecture existant au R+5, est susceptible de rester durant la phase travaux.

Le projet comporte environ 1798m² SU de surfaces d’Activités et 2631m² SHAB de surfaces de logements pour un total d’environ 4429m² SU.

Le projet consiste à créer des surfaces de balcons et de loggias pour les logements et à réaliser un traitement architectural redonnant au bâtiment une écriture résidentielle. Il prévoit également de rendre le bâtiment conforme à la réglementation incendie et à la RT « globale » pour les bâtiments existants.


Réhabilitation, transformation de bureaux  en 45 logements sociaux

Noisy-le-Grand 

Le site surplombe la ville et offre des vues sur le grand paysage à 180 degrés.

Son environnement verdoyant aux alentours et ses vues exceptionnelles, constitue une formidable opportunité pour la réalisation d’une nouvelle résidence haut de gamme dans un site exceptionnel.

Programmation mixte et diversifiée :

\- Un équipement à l’entrée du site

\- Une zone de services pour les futurs résidents avec 2 chambres d’hôte, 2 salles de jeux enfants et ados, 1 salle polyvalente et 1 salle de sports.

\- Des logements en accession dans le bâtiment réhabilité

\- Des logements neufs créés

Le bâtiment est restructuré notamment grâce à une double peau non porteuse à l’intérieur des façades est créée afin de conserver la trame et la structure porteuse existante (système poteaux-poutres) ; elle permet de créer des loggias dans la profondeur existante du bâti.

Une requalification des circulations verticales et horizontales est effectuée afin de distribuer au mieux les surfaces des logements.

L’épannelage existant des toitures en gradins permet de créer des terrasses privatives généreuses et végétalisées qui participent à la végétalisation du site.


Réhabilitation, transformation de bureaux en  logements et construction neuve

Marly-le-Roi

Le projet se situe Zac de l’Arsenal à proximité de pôles existants et futurs très attractifs et bien connectés. La future gare du Grand Paris express sera un de ces pôles.

Le projet prévoit la construction de 65 logements sociaux répartis en 2 bâtiments. L’implantation du projet permet de développer un maximum de façades sur les meilleures orientations et d’offrir des vues qualitatives aux logements.

La volumétrie et la compacité du projet est en adéquation avec les objectifs forts de développement durable portés par le projet d’Eco-Quartier de la ZAC. La majorité des logements auront une vue sur les espaces paysagers bordant le projet. Les balcons des logements seront généreusement dimensionnés pour permettre aux habitants de les considérer comme une pièce supplémentaire de leur logement. Les façades ont été composées avec soin avec des matériaux de qualité nobles et durables.


65 logements collectifs

Le projet du Passage Mistral a été imaginé comme une conversation entre un site et ses habitants, une expression d'une urbanité renouvelée.

Le projet accueille 46 logements collectifs et s'organise en 2 bâtiments, 4 maisons superposées sur 4 cages d'escalier.

Un épanelage des hauteurs compris entre RDC à R+2+2 Attiques, permet de générer une transition urbaine de qualité, en proposant un décrescendo vers le cœur d'îlot et le tissu pavillonnaire, de manière à favoriser une greffe douce entre le nouveau projet et son environnement.

A l'échelle contenue du site, nous avons travaillé l'imbrication des typologies d'habitat, la profondeur et l'organisation des volumes bâtis pour créer un ensemble collectif dans un tissu à dominante pavillonnaire, à l'écriture contemporaine capable de dialoguer avec son quartier et présenté place au paysage dans l'ensemble de ses points de vue.

Depuis l'avenue Mistral, le piéton à la perception des façades se détache sur différents plans : des matériaux singuliers dialoguent pour créer du relief. Un porche en double hauteur soulève le bâtiment. L'espace est lumineux, le bois entre en résonance avec la brique minérale. Cette grande percée visuelle oriente notre regard jusqu'au jardin : les sujets conservés laissent présager un vaste îlot de fraîcheur en été. Des maisons de bois s'enracinent au cœur du jardin. On distingue de vastes séjours derrière de grandes baies vitrées double hauteur.

On déambule le long de la venelle. Le jardin invite au calme et à la quiétude. Au sol, la brique trace un itinéraire dans lequel se mêle le végétal. Une multitude de perspectives sur le jardin s'offre à nous. Ici, de grands sujets ombragent une séquence, là, les arbustes colorent l'ensemble. Les pignons sont équipés de treilles métalliques sur lesquelles se développent des grimpantes.

Plus loin, le plot sur l'avenue du Général de Gaulle s'insère dans le tissu existant comme une rotule de bois et de brique. Il est un monolithe sculpté : son attique libère les angles pour créer de grandes terrasses où les deux matériaux s'imbriquent pour modeler la façade. Son implantation en retrait de l'immeuble d'angle structure une faille végétale où les flux piétons nous guident vers le cœur d'îlot. Elle permet surtout de donner à voir en second plan le bâtiment de l'avenue Mistral. Enfin, face à nous, le nouveau restaurant du rez-de-chaussée s'ouvre généreusement sur la place Henri Barbusse pour impulser une nouvelle dynamique au quartier.


46 logements sociaux et commerce

Villeparisis

Dans cet assemblage d’anciennes parcelles, le projet se propose de respecter l’échelle intermédiaire et individuelle du quartier ceinturant le projet par un bâti mesuré de R+2+Combles. Il se pose en retrait des deux rues, et fabrique un angle coupé majeur, signal urbain visible depuis le lointain de la rue Edouard Vaillant. L’implantation en peigne permet de tirer profit de la course du soleil en proposant des vues à l’Est et à l’Ouest, tout en ménageant les vis-à-vis.

Le projet proposé affirme une mise en synergie d’un programme ambitieux : unités de logements dessinées dans la recherche de la qualité d’habitat et appropriable, un principe constructif clair, une ambitieuse approche écologique.

Plusieurs principes ont guidé la conception du projet:

\- Créer une perméabilité urbaine par des porosités visuelles sur le cœur d’îlot depuis l’espace public

\- Développer une implantation respectueuse des tissus bâtis avoisinants, en affirmant retraits et alignements selon les orientations, les situations de vue.

\- Affirmer une expression de façade sobre, mais qualitative, par la notion de soubassement, d’avancées, d’espaces pleins et vides. Retravailler de manière contemporaine la toiture à la Mansart.

\- Profiter de la situation d’angle de la parcelle afin de créer un signal singulier dans la ville et organiser l’entrée Sud du quartier.

La couleur blanche du projet permet un faible indice d’absorption du facteur solaire, limitant la création d’ilot de chaleur.


56 logements collectifs

Bondy

Situé à l’angle du boulevard Bineau et du boulevard du Parc à Neuilly-sur-Seine, le projet se trouve à un point stratégique et vient désormais marquer l’entrée sur l’Ile de la Grande Jatte.

Le projet, s’élevant à R+5+attique, propose un ensemble immobilier de 95 logements sociaux et de commerces à RDC, sur 2 niveaux de parking en sous-sol. Les logements sont répartis sur 3 bâtiments et sur 4 cages d’escaliers permettant de minimiser le nombre de logements au palier. Le traitement architectural du bâtiment est issu d’une volonté de maintenir l’harmonie d’ensemble du paysage urbain, et notamment du front bâti sur rue, tout en conservant le caractère dominant des séquences urbaines classiques mêlant ainsi un langage contemporain à la tradition.

Reprenant le caractère des voies privées souvent présentes dans la ville de Neuilly, une venelle a été créée en cœur d’ilot. Les façades des bâtiments côté boulevard sont rythmées par des séquences verticales, des bow-windows et par des retraits agrémentés de balcons qui permettent d’avoir une vue privilégiée sur la Seine et l’Ile de la Jatte.


95 logements collectifs, et commerces

Neuilly-sur-Seine

Le quartier de Franc Moisin  à St Denis connait actuellement une transformation en profondeur. Logirep souhaite, dans ce cadre, réhabiliter son patrimoine afin d’améliorer la performance énergétique du bâtiment, le confort des habitants et de diminuer les charges de chauffage et d’ECS. L’objectif du Maître d’ouvrage est d’obtenir à minima une performance après travaux de classe B selon la méthode THCEex et le label BBC Rénovation au minimum.

L’opération a également pour ambition d’apporter une réponse architecturale valorisante en proposant des traitements en cohérence avec le projet de renouvellement du quartier.

La réhabilitation architecturale et technique du bâtiment B5 offrira une nouvelle image pour le quartier et ses résidents. L’idée de traiter chacun des volumes de manière unique permettra une diversité essentielle pour une appropriation nouvelle des habitants de leur résidence.

La place du B5, dont la hauteur lui confère un statut spécifique dans le quartier est visible depuis les environs voisins et son environnement proche.

Le travail sur les façades est issu de réflexions sur leur écriture et exposition singulière, dans le respect d’un traitement pérenne et qualitatif, en accord avec les valeurs économes actuelles des matériaux respectueux de l’environnement.


Réhabilitation de 104 logements - Concours gagné

Saint-Denis

L’ensemble immobilier des Presles est situé au sein du quartier La Source – Les Presles, à l’entrée d’Epinay-sur-Seine, au nord-est de la ville.

La cité s’inscrit dans un ancien quartier agricole devenu pavillonnaire au début du XXe siècle. Le quartier s’est transformé après la Seconde Guerre Mondiale, avec la construction de grands ensembles qui cohabitent aujourd’hui avec des zones de logements individuels.

L’ensemble est composé de deux bâtiments en R+12, regroupant 284 logements : n°21 à 29 rue de la Justice, et n° 31 à 41 rue de la Justice. Le site comporte également des espaces verts avec des terrains de jeux, ainsi que des places de stationnement aériens et box en sous-sol.

Le programme des travaux vise en priorité la réhabilitation et la pérennité de ce patrimoine.

L’orientation du projet recherche la maîtrise des charges et des coûts liés aux consommations énergétiques du bâtiment aussi bien pour les locataires que pour Plaine Commune Habitat propriétaire bailleur, ainsi qu’une remise à niveau de la sécurité incendie des bâtiments, ainsi que des équipements techniques dans les logements et parties communes,

Cette maîtrise des charges et coûts passera par des économies d’énergie, et par une facilité d’entretien aussi bien pour les habitants que pour le maitre d’ouvrage en intervenant principalement sur l’enveloppe du bâtiment, ainsi qu’à l’intérieur des logements et parties communes.

Cette opération comprend également un volet résidentialisation, qui inclut tous les espaces extérieurs


Réhabilitation de  283 logements

Epinay sur Seine

Le projet consiste en la construction bois d’un immeuble composé de 2 entités reliées par des coursives, comprenant 6 logements collectifs sur un niveau de sous-sol de caves et de locaux techniques, situé 23 à 25, rue Rémy Dumoncel et 59, rue Hallé à Paris 75014.

Cette parcelle se situe au coeur du quartier calme et résidentiel du Petit-Montrouge dans le 14e arrondissement de Paris.\
Elle s’inscrit dans un site:

\- Historique : un ancien hôtel particulier, datant de 1830, dont la volumétrie existante doit être conservée

\- Rare : la parcelle accueille un Espace Vert Protégé (EVP) d’une surface de 250m2 dissimulé derrière un mur de clôture, non visible pour les piétons.

\- Urbain : le jardin en angle est délimité par deux grandes héberges, l’une correspond à l’hôtel particulier en R+2+C et la seconde à l’immeuble de logement collectif voisin en R+6.\
Notre projet a évolué au fur et à mesure des échanges avec les différents acteurs de la ville : les architectes voyers et la mairie du 14e. Notre souhait principal était de réaménager ce lieu, tout en préservant ce jardin d’une rareté inouï en plein coeur de Paris.\
Le projet présenté dialogue harmonieusement avec son environnement. Cette parcelle pleine d’atout est revalorisée à sa juste valeur (paysage et foncier) et offre un nouveau visage pour les futurs habitants et les riverains.


6 logements collectifs

Paris

Achever un quartier en rénovation urbaine en décloisonnant, reliant et requalifiant le territoire au travers d’un parc urbain.

L’opération se situe à Cergy, dans le cadre du projet de rénovation urbaine du quartier de la Croix Petit. Elle s’inscrit dans la quatrième phase d’avancement du lotissement, dans le lot A2. La parcelle est bordée par l’avenue du Nord à l’ouest, et vient terminer la boucle du nouveau quartier de la Croix Petit où un fort enjeu d’insertion urbaine est présent.

L’objectif de sa rénovation urbaine est de décloisonner et requalifier le quartier, entrainant l’ouverture vers l’extérieur à l’extrémité du parc et permettre la jonction entre les deux zones de bâti au-delà de l’avenue du Nord. L’enjeu du Lot A2, grâce à un système de plots rayonnants, est d’exprimer un front bâti sur rue tout en ménageant de larges transparences avec le parc de la Croix petit. 55 logements se divisent en deux plots, dessinés de façon à ce que chaque logement puisse profiter d’un espace extérieur et d’une vue sur le parc.

Les deux plots s’appuient sur les lignes directrices des projets voisins de façon à faire entrer le parc au cœur de l’îlot. Ces grandes failles dessinées par l’implantation du projet permettent un ensoleillement au cœur du projet, et le respect des habitants en adoucissant les vis-à-vis. Le parc se prolonge ainsi par-delà la parcelle et offre à tous les logements une vue dégagée, et un cœur d’îlot largement végétalisé. Les façades des deux cages, traitées de manière similaire pour garder une unité au sein de l’îlot, sont sobres mais distinctives de façon à s’intégrer parfaitement dans l’environnement.


55 logements collectifs

Cergy

Sur cette parcelle cohabitaient deux bâtiments de nature différente : un hôtel particulier à l’abandon et un immeuble de logements.

La Ville de Paris réhabilite ces ensembles du début du XXe siècle avec une attention particulière sur la qualité environnementale et patrimoniale.

Recréer un ensemble cohérent autour d’un espace central lumineux, à mi-chemin entre un jardin d’agrément et une cour pavée parisienne, était primordial pour redonner vie à cet ancien hôtel particulier et offrir un environnement de qualité pour l’immeuble sur rue.

Les interventions sur l’enveloppe, le déplacement de l’entrée et de la marquise, la réouverture de fenêtres condamnées, ainsi que la réinterprétation des escaliers centrés sur chaque façade en balcons d’agrément renouvellent la fonction de l’ancien hôtel, sans dénaturer sa vocation initiale.

Sur rue, un attentif travail d’isolation intérieure et extérieure a été mené afin d’atteindre les objectifs du Plan Climat Paris, sans intervenir sur les façades en briques appareillées de grande qualité patrimoniale.


Réhabilitation d'un immeuble haussmannien en brique de 31 logements et restructuration d'un hôtel particulier 

Paris 12

Le bâtiment construite dans les années 50 fait partie intégrante d’un îlot de HBM sur les 17 km de la ceinture de Paris construit dans les années 1920.

Il est situé entre le boulevard Murat et l’avenue du parc des princes.

Ces ensembles de l’entre 2 guerres et ultérieur ont fait l’objet d’un inventaire qui leur confère une qualité patrimonial indéniable méritant un soin attentif lors de leur réhabilitation.

Les façades en briques, les différents registres, modénatures et traitement des attiques, ainsi que l’organisation urbaine dense ceinturant Paris sur les boulevards des Maréchaux sont autant d’éléments caractéristiques du paysage parisien et de sa stratification concentrique historique.

Sa situation à l’angle du boulevard Murat et de la rue Lecomte du Noüy, l’expose aux nuisances sonores induites par la circulation sur le boulevard, et la proximité du parc des Princes.

La configuration de l’îlot fermé rejette l’ensemble des dessertes verticales à l’intérieur de cet îlot, complexifiant le fonctionnement.

Un complexe **liège** et enduit vient  isoler les façades sur cour.

Un travail de serrurerie reprenant les codes du mouvement art déco a été réalisé pour magnifier l’escalier sur cour.


Réhabilitation d'un immeuble HBM de 25 logements

Paris 16

L’opération datant de 1963 se situe dans un contexte à dominante pavillonnaire et petit immeuble collectif ancien progressivement investi par des opérations immobilières plus récentes.

Le programme de réhabilitation de la résidence doit comprendre une proposition d’amélioration architecturale des façades tout en prenant en compte l’intégration des bâtiments dans leur environnement. En effet la résidence occupe une place importante dans le quartier qui est à dominante pavillonnaire. La réhabilitation permettra d’améliorer l’image du quartier.

L’objectif de la réhabilitation de la résidence est d’améliorer sa performance thermique en atteignant une étiquette C.


Réhabilitation d'un ensemble immobilier de 193 logements

Fontenay aux roses

L’opération se situe au 95 Bd Brune.

Elle se compose de 2 bâtiments : 1 bat en R+15 sur le Bd Brune, en continuité du bâti et un bâtiment en R+8, perpendiculaire sur l’allée Bachelard, le long d’un jardin., et 2 jardins : 1 à l’Est et 1 à l’ouest.

Les 2 bâtiments ont une seule et même écriture en façade et organisation en plan. L’entrée du bat sur le boulevard Brune se situe au 95 Bd Brune. Pour le bat en R+8, 4 entrées différentes, 1,3,5, et 7 allée Bachelard.

Construit en 1968, l’immeubles typique des années 70 de logements sociaux : Volumes simples liés à l’usage, lignes géométriques simples, fonctionnalisme et rationalisme. Recours à la préfabrication lourde des éléments de façade, logements baignés de lumière, pièces des logements confortables.

L’idée a été de se baser sur les éléments déjà présents sur le bâtiment et de les interpréter aujourd’hui afin de les inscrire dans un nouveau dynamisme, dans un nouvel avenir et une appropriation de cette nouvelle identité par les locataires et les riverains.


Réhabilitation d'un ensemble immobilier de 223 logements

Paris 14

Des jardins suspendus, accessibles aux locataires.

Les objectifs habituels d’une réhabilitation thermique et des normes d’habitabilité s’accompagne ici d’une volonté écologique de traitement des façade et toitures. Cette Architecture de 1968 est représentative des Codes architecturaux issus du mouvement moderne en vigueur jusqu’au milieu des années 70.

·Minimalisme des volumes, pas de superflu mais mise en exergue des données essentielles

·Fonctionnalisme

·Rapport à l’espace et à la lumière

·Qualité de l’organisation des logements et générosité des espaces communs.

La végétalisation d’un immeuble de logements s’appréhende de toute autre manière que celle d’un immeuble de bureau ou d’un équipement. Dans ces derniers cas elle revêt un aspect représentatif, identitaire, sans incidence direct pour les utilisateurs sur sa gestion et son entretien.

Dans le cas d’un immeuble de logements et le cas échéant avec occupants en place, la végétalisation implique :

·Une valeur d’usage offerte aux occupants

·Une adhésion au projet

·Une implication et donc un intérêt, voire la possibilité d’un investissement personnel, d’une valeur ajoutée à leur logement et à l’utilisation des toitures comme espace semi privatif

.·Les charges induites de l’arrosage, l’entretien de la végétation


Réhabilitation d'un ensemble immobilier de 315 logements

Végétalisation des façades

Issy Les Moulineaux

Requalifier ce délaissé de terrain et répondre aux différentes contraintes du site. Nous avons voulu tirer parti des contraintes du terrain, de forme triangulaire très allongée et implanté le long des voies ferrées situées au sud du terrain.

L’implantation des bâtiments perpendiculairement aux voies ferrées, et d’un mur anti-bruit végétalisé au sud, permet une orientation des logements est-ouest tout en se protégeant des nuisances sonores.

Afin de permettre une insertion respectant l’environnement existant, les maisons individuelles sont situées au nord du terrain, répondant en écho à la zone pavillonnaire présente le long de l’axe de la rue de la Liberté. Les 2 bâtiments collectifs se situent sur la limite ouest dans le prolongement du bâtiment de bureaux. Les logements intermédiaires sont accolés à la limite sud.


 60 logements sociaux

La requalification de l’esplanade de la commune de Paris et des abords de la sortie du RER, avec la création d’une place urbaine et paysagée à ciel ouvert est une opportunité pour requalifier les bâtiments alentours. En effet, cette nouvelle place urbaine et paysagée à ciel ouvert est destinée à devenir une nouvelle centralité à l’échelle du quartier Mont d’Est et à l’échelle de la commune de Noisy-le-Grand. Elle donnera une nouvelle lisibilité à l’ensemble des bâtiments qui la constitue dont fait partie ce foyer-logements de 158 chambres implanté actuellement.

Le projet de transformation et de réhabilitation de ces 2 bâtiments est complexe car il surplombe le centre commercial et son parking public et est issu d’une logique d’architecture de dalle des années 70.

Il accueillera une programmation mixte et diversifiée :

\- Des logements sociaux

\- Un hôtel  3 ou 4 étoiles

Les bâtiments seront restructurés notamment grâce à la création d’une double peau non porteuse sur les façades afin de conserver la trame et la structure porteuse existante (système poteaux-poutres) ; elle permettra de  créer du relief aux façades et de modifier leur aspect, tout en améliorant la qualité de vie des logements en créant un espace extérieur.

Une requalification des circulations verticales et horizontales est effectuée afin de distribuer au mieux les surfaces des logements.

Pour les logements sociaux, le jumelage de  plusieurs logements permettront d’affecter des surfaces correspondant à des typologies variées. Les pièces humides seront réorganisées autour des gaines existantes.

Le projet prévoit de surélever le bâtiment accueillant le nouvel hôtel pour créer un rooftop qui donnera des vues sur le paysage et notamment sur les nouvelles berges et les bassins.

Ce projet doit participer à donner à la ville une image nouvelle à l’aune de son développement et de son identité future au sein du Grand Paris.


Réhabilitation, transformation d’hébergement en hôtel et logements sociaux

Noisy-le-Grand

L’ensemble immobilier se situe au sein d’un îlot cerné par les rues Thimonnier, la rue de Paris, la D110, et la D102. Cet îlot est constitué d’opérations immobilières datant des années 60 dans un contexte de barres enserrant des espaces verts généreux. Cet îlot est aujourd’hui l’objet d’une réflexion de réhabilitation thermique dans le cadre de l’ANRU. L’ensemble immobilier est situé dans la partie sud de l’îlot, à proximité de l’axe important des voies de chemin de fer, et proche du centre commercial. Il assure une continuité bâtie le long de la rue Thimonnier, alors que le côté sud de la voie offre une organisation en peigne formé d’alternance de bandes de collectifs et d’individuels.

Les bâtiments se développent le long de la rue Thimonnier, en s’infléchissant parallèlement à la nationale 6. Cette configuration produit un effet imposant de continuité visuelle accentué par l’homogénéité de
traitement architectural s’ouvrant suivant un angle de 135°.A contrario du bâti des opérations environnantes de l’îlot ou l’espace est défini et ponctué par l’organisation autour des cours intérieures, ici le bâti continu borne l’espace public sur rue en s’ouvre en s’infléchissant largement sur un jardin.

Le programme des travaux proposé est basé sur la réhabilitation thermique de la résidence, avec notamment une isolation des façades un embellissement des halls et cages d'escalier vieillissantes, ainsi que des sous-sols, une intervention sur les réseaux ventilation chauffage et sur la chaufferie Dans les logements est prévu un remplacement des menuiseries extérieures, des travaux sur les réseaux électriques, plomberie et chauffage, la réfection des salles de bains pour 30 % des logements. Les espaces extérieurs seront entièrement repensés.


Réhabilitation d'un ensemble immobilier de 209 logements

Villeneuve Saint Georges

Ce groupe scolaire construit en 1910 forme un îlot impénétrable. Une étude du fonctionnement entre les 3 entités que constitue l’école maternelle, l’école élémentaire, et le centre Paris Lecture, a permis de tisser des liens, retrouver un dialogue et une cohérence par la création du service de restauration. Point de convergence, la nouvelle construction respecte l’autonomie de chaque établissement. Elle se faufile entre les cours de récréation ,prolonge les corps de bâtiment et les préaux, abritant ce moment de convivialité en osmose avec les espaces extérieurs réaménagés.

Un parcours ludique en terrasse jardin, au niveau de la frondaison des arbres, mène les élèves de maternelle à leur restaurant depuis les classes situées en étage . Ceux de l’école élémentaire accèdent directement à leur restaurant depuis leur cour de récréation. Les toitures visibles depuis l’existant et les immeubles avoisinants ont été libérées de toutes installations techniques et traitées en surfaces végétalisées. Deux strates horizontales: un socle de béton brut poursuit l’ordonnancement et abrite le restaurant de l’école élémentaire; un niveau aérien fait de serrurerie, vitrages sérigraphiés et larges baies vitrées, est le domaine de la maternelle.


Extension d'un groupe scolaire 

Création d'une restaurant 

Vulpian

La résidence senior s’implante au cœur d’un jardin boisé protégé à 400m du lac d’Enghien. Le terrain est situé le long de la rue du Temple, à environ 400m du lac d’Enghien. Il comporte deux espaces paysagers protégés, le premier en bande le long de la voie et le second, espace boisé au nord de la parcelle. Il s’agit ici d’organiser la densification de ce secteur proche de la gare et d’assurer l’insertion urbaine du projet par une architecture de qualité, en respect des espaces paysagers du site. L’enjeu est également de donner à voir la nouvelle construction, depuis le square Jean Mermoz, afin de parachever son cadre bâti périphérique au moyen de bâti d’échelle adaptée.

Le projet s’implante perpendiculairement à la rue du temple, ménageant ainsi un vaste espace central, à la fois espace de circulation, véritable jardin commun et agrément visuel au vu des résidences voisines. Le projet s’insère dans le site en s’appuyant sur les pignons mitoyens existants et donne à voir un bâtiment à R+4 sur rue. Le rez-de-chaussée est traité comme un socle, le corps de bâtiment en enduit clair à R+4 et l’attique est traité en simple et double attique avec une alternance de bois et peinture sur béton.

Au RDC, les espaces communs dédiés aux habitants de la résidence s’installent et s’ouvrent sur l’espace boisé conservé ; 10 arbres dont un très grand cèdre remarquable ont été sauvegardés et mis en valeur. Quelques logements sociaux sont accessibles individuellement depuis l’extérieur par un accès piéton sur la rue du Temple.


Résidence senior

104 logements collectifs 

Enghien-les-Bains

Le projet consiste à réaliser un programme immobilier de 102 logements dont 34 logements sociaux et 68 en accession à la propriété (dont 58 en accession + 10 LLI) , un local commercial d’activités de 174 m2.

Ce programme immobilier s’inscrit dans le périmètre d’Orientation d’Aménagement et de Programmation N°5 Arquebuses.

Il s’organise en 3 bâtiments de logements collectifs qui vont de R+3 à R+6+A sur un niveau de sous-sol de 82 places de stationnement

sous l’emprise des 3 bâtiments qui sont entourés d’espaces verts communs et de jardins privatifs.

Tout au long de la conception du projet,

une attention particulière a été apportée à la volumétrie et aux hauteurs du bâti afin de s’insérer au mieux dans le paysage urbain.


102 logements collectifs et local commercial

Pavillons-sous-bois

Le projet accueille 180 logements collectifs dont 39 logements sociaux et s’organise en 4 bâtiments s’élevant à R+3+Attique.

Les bâtiments 1, 2 et 3 sont dédiés à l’accession. Le bâtiment 4 est dédié au programme locatif social.

Un front urbain qualitatif sur la rue du 8 mai 1945 ménage un retrait sur l’espace public. Un épanelage des hauteurs compris entre RDC à R+3+Attique, permet de générer une transition urbaine de qualité, en proposant un décrescendo vers le tissu pavillonnaire, de manière à favoriser une greffe douce entre le nouveau projet et son environnement. Les bâtiments à impact volumétrique limité, permettent de conserver un rapport d’échelle domestique et offrent des toits habités.Des porosités visuelles sur le cœur d’ilot permettant la connexion du jardin paysager avec la rue du 8 mai 1945. En effet, les bâtiments sont reliés 2 à 2 par des porches qui offrent des percées visuelles sur le cœur d’ilot. De même, cette porosité de l’ilot est accentuée par la percée visuelle préservée entre les bâtiments 2 et 3 et la venelle créée permettant d’accéder au jardin paysager collectif en cœur d’ilot.

Les façades des bâtiments sont sobres afin de s’intégrer parfaitement à l’environnement, dans la volonté de créer une architecture simple, rationnelle et élégante. Des séquences sont créées alternant des volumes composés de façades en enduit blanc, de volumes composés de façades en plaquette de briques beige, le tout surmonté d’un attique habillé de toitures aspect zinc à joint debout.

Le projet est inséré dans un espace végétal généreux et diversifié. Un équilibre est créé entre le végétal et le minéral offrant un espace d’apaisement et de convivialité. Un jardin commun est proposé aux résidents, accessible via la venelle accessible entre les bâtiments 2 et 3.
